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Au moins cinq hommes impliqués dans des attentats "terroristes" en Tunisie s'évadent de prison

D'après une annonce faite mardi 31 octobre par le ministère de l'intérieur, au moins cinq individus, emprisonnés pour leur implication dans des attentats "terroristes"et considérés comme dangereux se sont évadés de la plus grande prison de Tunisie. L'administration de prison de Mornaguia (près de Tunis) a signalé que cinq individus dangereux, passibles de peines de prison liées à des affaires terroristes, se sont évadés de la prison à l'aube d'après les indications du ministère de l'intérieur qui a dévoilé leurt identités et photos. Parmi les fugitifs figure Ahmed Mzlki, 44 ans surnommé "le somalien" et impliqué dans l'assassinat d'opposants politiques.  Arrêté en 2014, il a été condamné en 2017 à 24 ans de prison pour son implication dans le meurtre, le 6 février 2013 à Tunis de l'opposant de gauche Chokri  Belaïd, revendiqué par des islamistes extrémistes.

Coupe du monde 2022 : Coup de massue australien pour la Tunisie

Quatre jours après un match nul (0-0) face au Danemark, les Tunisiens ont perdu leur deuxième sortie contre l’Australie dans le groupe D de la Coupe du monde Qatar 2022 de football sur un score d'un but à zéro. À Al akrah, les Aigles de Carthage n'ont jamais trouvé la solution pour renverser les Socceroos. Comme face à la France, l’Australie a ouvert le score face à la Tunisie et s’est imposée 1-0, ce samedi 26 novembre, grâce à une tête lobée dos au but de Mitchell Duke, qui évolue en deuxième division japonaise (24e). Les Aigles de Carthage n’ont pas réussi à concrétiser leur bon début de Mondial face au Danemark. 

Des milliers de personnes défilent à Tunis pour soutenir la Palestine dans un conflit avec Israël

Des milliers de personnes sont descendues jeudi dans les rues de Tunis pour soutenir le peuple palestinien, suite à l’escalade entre le Hamas et Israël.

La marche aurait été convoquée par l’Union générale tunisienne du travail et organisée par des associations et des partis politiques.

Selon les manifestants, C’est une première marche et un message à tous les peuples arabes pour qu’ils descendent dans la rue pour soutenir les droits des Palestiniens, pour soutenir le peuple palestinien. Ce serait aussi un message à l’Occident que le peuple palestinien n’est pas isolé. De plus, pour ces milliers de personnes, même si certains dirigeants arabes ont « abandonné la question palestinienne, le peuple arabe porte la Palestine dans son cœur et exprime à chaque fois qu’il défend les droits des Palestiniens et qu’il n’y renoncera pas »

Des milliers de personnes protestent en Tunisie contre la crise socio-économique

C'est à l'appel de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) devant le siège du chef du gouvernement à Tunis que des milliers de personnes ont protesté contre la détérioration de la situation sociale et économique dans le pays.

Dans un discours prononcé devant les manifestants déplorant "l'échec des dirigeants NDLR à formuler des politiques et des choix nationaux", le secrétaire général de la principale centrale syndicale Noureddine Tabouti a indiqué que la situation économique et sociale ne cesse de s'aggraver en Tunisie.

La Tunisie envisage combler ses déficits budgétaires

La Tunisie envisage prendre des mesures afin d'emprunter des milliards à sa propre banque centrale pour pallier aux déficits budgétaires et penser par ailleurs sa crise économique. Une solution qui à en croire les experts, est susceptible d'entraîner l'inflation et de mettre en péril la confiance au sein des institutions.

La Tunisie expérimente des stations solaires flottantes

Piloté par le développeur d'énergies renouvelables Qair, les stations solaires flottantes est un projet innovant de 200 kilowatts qui servira sans nul doute de prototype avant une expansion sur l'ensemble du territoire. À travers cette initiative, le gouvernement tunisien veut produire 35% de l'électricité à partir d'énergies renouvelables en 2030.

La Tunisie s’apprête à accueillir la première Conférence et exposition sur la santé numérique en Afrique et au Moyen-Orient (AMDHC)

L’Association tunisienne pour la promotion de la santé (ATPS), en partenariat avec l’Organisation mondiale de la santé (département de la santé numérique), organisent la Conférence et exposition sur la santé numérique en Afrique et au Moyen-Orient (AMDHC) en Tunisie du jeudi 22 au samedi 24 septembre au centre de conférence Mehari Golden Yasmin et à l’expo center Diar Lemdina, Yasmine Hammamet, Tunisie.

Législatives 2024 : Les chocs RN et les échos des législatives françaises au Maghreb

Une montée inquiétante du RN

Les résultats du premier tour des législatives françaises de 2024 ont provoqué une onde de choc au Maghreb. La percée du Rassemblement National (RN) suscite des inquiétudes quant aux conséquences pour les Maghrébins vivant en France et pour les relations bilatérales entre la France et les pays du Maghreb.

Tunisie : "C'est la douche froide"

En Tunisie, la montée du RN est perçue avec une grande inquiétude. Zeïneb Ben Ismaïl, journaliste à Tunis pour le média indépendant Inkyfada, exprime cette anxiété : "C'est un peu la douche froide. C'est une tendance qui est en train de rattraper même notre voisin direct, un des plus gros partenaires de la Tunisie." En tant que Franco-Tunisienne, elle redoute les répercussions sur les binationaux et les relations franco-tunisiennes.

Algérie : "On n'attend plus grand-chose"

En Algérie, les relations avec la France sont déjà tendues. Lounes Guemache, directeur du quotidien électronique Tout sur l’Algérie, souligne que la montée du RN pourrait aggraver la situation. "On a l'impression, vu d'Algérie, que la France n'est plus un partenaire fiable," explique-t-il. Les discours de Marine Le Pen et Jordan Bardella sur l'Algérie, ainsi que la menace de mettre fin à l'accord de 1968, alimentent les craintes d'une détérioration des relations.

Maroc : Des visions partagées

Au Maroc, les réactions sont plus nuancées. Certains Marocains voient dans la montée du RN une opportunité pour la reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. Abdellah Tourabi, journaliste politique et chroniqueur marocain, explique : "Pour une partie des Marocains, on considère que la montée de l'extrême droite serait favorable à la position marocaine." Cependant, d'autres craignent les conséquences xénophobes et islamophobes du RN sur les Marocains vivant en France.

Vers une confrontation ?

La montée du RN et son éventuelle arrivée au pouvoir en France pourraient entraîner une escalade des tensions avec les pays du Maghreb. Le programme du RN, qui prévoit de réduire l'immigration et de limiter l'accès à certains secteurs pour les binationaux, est perçu comme une menace directe par ces pays.

Conclusion : Quel avenir pour les relations franco-maghrébines ?

La situation politique actuelle en France, marquée par la montée du RN, suscite des inquiétudes légitimes au Maghreb. Les relations entre la France et ses partenaires maghrébins pourraient être profondément affectées, mettant en péril des liens historiques et économiques importants. La question demeure : la France peut-elle se permettre de se mettre à dos une partie significative de ses ressortissants arabes et de leurs pays d'origine ? Le futur gouvernement devra naviguer avec prudence pour éviter une rupture majeure avec ces nations.

OMONDO INTERNATIONAL - L'Union européenne déplore les atteintes à la démocratie en Tunisie

L'Union européenne a exprimé sa vive préoccupation face à la détérioration de la situation démocratique en Tunisie, pays autrefois considéré comme le berceau du Printemps arabe. Cette prise de position intervient dans un contexte de tensions croissantes entre Bruxelles et Tunis, mettant en lumière les défis complexes de la diplomatie européenne dans la région.

Une démocratie en péril

La Tunisie, qui avait suscité l'espoir d'une transition démocratique réussie après la révolution de 2011, connaît depuis plusieurs mois un recul inquiétant des libertés fondamentales. Les récentes mesures prises par le président Kaïs Saïed, notamment la dissolution du parlement et la concentration des pouvoirs, ont suscité l'inquiétude de la communauté internationale.

Réaction de l'UE

L'Union européenne, par la voix de son Haut Représentant pour les Affaires étrangères, a appelé les autorités tunisiennes à :

  • Restaurer le fonctionnement des institutions démocratiques
  • Garantir l'indépendance de la justice
  • Respecter les libertés fondamentales, dont la liberté d'expression et de la presse

Implications pour les relations UE-Tunisie

Cette situation met à rude épreuve les relations entre l'UE et la Tunisie, notamment :

  • La remise en question des accords de coopération économique
  • Le réexamen des programmes d'aide au développement
  • La nécessité de repenser la stratégie européenne dans la région

Perspectives et enjeux

La crise tunisienne soulève des questions cruciales pour l'avenir des relations euro-méditerranéennes :

  • Comment l'UE peut-elle promouvoir efficacement la démocratie sans être accusée d'ingérence ?
  • Quel équilibre trouver entre les intérêts géostratégiques et le respect des valeurs démocratiques ?
  • Comment adapter la politique européenne de voisinage face aux défis émergents dans la région ?

La réponse de l'UE à la situation en Tunisie pourrait bien définir sa crédibilité et son influence dans le monde arabe pour les années à venir. Elle devra naviguer habilement entre fermeté sur les principes démocratiques et pragmatisme diplomatique pour maintenir un dialogue constructif avec Tunis.

 

 

OMONDO POLITIQUE : Élection présidentielle en Tunisie : Kais Saied remporte une victoire écrasante avec 89% des voix

Le président sortant Kais Saied a été réélu à la tête de la Tunisie avec une majorité écrasante, suscitant des réactions mitigées tant au niveau national qu'international.

Un scrutin controversé

  • Taux de participation historiquement bas
  • Boycott de l'opposition et accusations de dérive autoritaire
  • Questionnements sur la légitimité du processus électoral

Programme et promesses du président réélu

  • Engagement pour la lutte contre la corruption
  • Promesses de réformes économiques
  • Volonté affichée de renforcer la souveraineté nationale

Réactions et perspectives

  • Inquiétudes de la communauté internationale sur l'état de la démocratie tunisienne
  • Défis économiques et sociaux persistants pour le nouveau mandat
  • Incertitudes sur l'avenir des relations avec les partenaires occidentaux

OMONDO POLITIQUE : Tunisie - Le candidat présidentiel Ayachi Zammel en détention provisoire

Dans un rebondissement politique majeur en Tunisie, Ayachi Zammel, candidat déclaré à la prochaine élection présidentielle, a été placé en détention provisoire. Cette décision judiciaire soulève des questions sur le processus électoral à venir et l'état de la démocratie tunisienne.

Les faits

  • Ayachi Zammel a été arrêté et placé en détention provisoire
  • Les charges exactes contre lui n'ont pas été immédiatement précisées

Contexte politique tendu

  • La Tunisie traverse une période de turbulences politiques depuis plusieurs années
  • Le président Kaïs Saïed est accusé par ses opposants de dérive autoritaire

Réactions et implications

  • L'arrestation de Zammel suscite des inquiétudes sur la liberté d'expression politique
  • Les partis d'opposition dénoncent une instrumentalisation de la justice
  • Des observateurs internationaux s'interrogent sur l'équité du futur scrutin présidentiel

Enjeux pour la démocratie tunisienne

  • La crédibilité du processus électoral est remise en question
  • Le pluralisme politique semble menacé
  • L'indépendance de la justice est au cœur des débats

Conclusion : La Tunisie à la croisée des chemins

L'arrestation d'Ayachi Zammel marque un tournant potentiel dans la vie politique tunisienne. Comment cette affaire influencera-t-elle le paysage politique à l'approche des élections ? La Tunisie saura-t-elle préserver les acquis démocratiques de la révolution de 2011 ? L'avenir de la jeune démocratie tunisienne semble plus incertain que jamais.

Tunisie : Au moins trois terroristes neutralisés dans la zone montagneuse de Kasserine

C'est au cours d'une opération menée par des agents de la garde nationale et des militaires que trois terroristes ont été abattus dans la zone montagneuse de Kasserine dans le centre ouest de la Tunisie d'après les indications du ministère de l'intérieur qui a également tenu à préciser que l'opération anti-terroriste est toujours en cours dans la zone montagneuse de Kasserine, ville proche de la frontière avec l'Algérie.

Tunisie : L'audition du chef du parti Ennahdha a été reporté

L'Unité nationale de recherche dans les crimes terroristes a décidé de reporter l'audition du chef du parti d'inspiration islamiste Ennahdha, convoqué avec l'ex-premier ministre Ali Laarayedh pour une affaire en lien avec l'envoi des jihadistes en Syrie et en Irak. Le chef du parti d'inspiration islamiste Ennahdha, Rached Ghannouchi, et l'un de ses adjoints, l'ex-premier ministre Ali Laarayedh, étaient convoqués pour un interrogatoire lundi par le pôle anti-terroriste en Tunisie.

Tunisie : La constitution de Kaïs Saïed adoptée à 94,6%

 D'après les résultats officiels définitifs rendus publiques mardi 16 août par l'autorité électorale Isi, 94,6% des électeurs tunisiens ont voté pour l'adoption de la nouvelle constitution proposée par le président Kaïs Saïed, qui renforce considérablement les pouvoirs du chef de l'État. La nouvelle loi fondamentale, qui renforcera nettement les prérogatives du président a été approuvée par un peu plus de 2,6 millions de personnes selon l'annonce du président de l'Isie Farouk Bouasker devant la presse. Le taux de participation a été considéré comme très faible à 30,5%.

Tunisie : Le chef de l'opposition Rached Ghannouchi entame sa grève de faim

Rached Ghannouchi le chef de l'opposition tunisienne a commencé une grève de la faim en prison le 19 février dernier. Il rejoint ainsi d'autres détracteurs du gouvernement en grève pour protester contre ce qu'ils considèrent comme une incarcération injuste.

Le porte-parole du parti de l'opposition Imed Khemiri a fait savoir à l'Associated Press que la grève de Rached Ghannouchi visait à attirer l'attention sur le sort des prisonniers politiques et sur les violations de leurs libertés. Une grève qui envisageait aussi d'exiger un retour à la démocratie dans ce pays d'Afrique du Nord connu pour des manifestations qui ont donné le coup d'envoi du printemps arabe il y a 13 ans.

Tunisie : Le gouvernement, l'UGTT et le patronat s'accordent pour un dialogue social

Près de deux mois plus tard, dans un contexte d'inflation généralisée et une rentrée qui s'annonce difficile, l'UGTT, le gouvernement et le patronat, représenté par l'UTICA, ont signé un contrat social. Une manière de s'engager officiellement pour des discussions socio-économiques entre les trois corps à partir de ce lundi 15 août.

Tunisie : le président Kaïs Saïed en visite surprise dans le village de la Francophonie

Le Chef de l'État de la République Kaïs Saïed a effectué une visite surprise au village de la Francophonie à Djerba dans le sud du pays où se tient le Sommet de la Francophonie les 19 et 20 novembre. Ce vendredi 18 novembre, le dirigeant tunisien s'est offert un bain de foule et a rappelé dans une déclaration que ceux qui « ont essayé de saboter » le sommet « ont échoué » sans nommer les concernés. La visite présidentielle intervient dans un contexte tendu en Tunisie pour les droits humains et la liberté d’expression.

Tunisie : Manifestation à Zarzis après le naufrage des migrants

Près de 4000 personnes ont manifesté mardi à Zarzis en Tunisie, pour réclamer l'intensification des recherches des corps de migrants tunisiens disparus en mer le mois dernier. Des fonctionnaires, des commerçants ainsi que les familles de 12 de ces migrants se sont rassemblées sur l'avenue principale de la ville. Ils avaient tous répondu à l'appel à la grève générale d'un syndicat local qui demande une enquête sur ce naufrage ainsi que sur les procédures de recherche et d'inhumation des dépouilles retrouvées.

Tunisie : Ouverture de la deuxième édition du salon international de l'aviation

Les activités de la deuxième édition du salon international de l'aviation et de la défense ont débuté mercredi à Hamamet en Tunisie et se poursuivront jusqu'au 16 octobre prochain. Imad Memis, ministre du transport, ainsi que Nasreddin al-Nesibi, ministre du travail et porte parole du gouvernement ont assisté à l'ouverture de la foire qui s'est tenue à l'aéroport international d'Enfida en présence de plusieurs hauts responsables militaires des forces armées d'une quarantaine de pays frères et amis