Une nouvelle attaque russe a frappé la ville de Zaporijjia en Ukraine, faisant au moins dix victimes civiles. Cette frappe souligne la persistance des violences dans la région, malgré les appels internationaux à la désescalade.
Détails de l'attaque
L'attaque a visé des infrastructures civiles, causant des dégâts importants et des pertes humaines.
Bilan et dégâts
- Dix personnes tuées, nombre de blessés encore incertain
- Une station-service en feu suite à l'attaque
- Problèmes d'électricité dans les localités environnantes
Réactions internationales
Condamnation unanime
La communauté internationale a rapidement réagi, condamnant fermement cette nouvelle attaque contre des civils.
Appels à l'action
- Demandes de cessez-le-feu immédiat
- Appels à une enquête sur de possibles crimes de guerre
Impact sur les négociations de paix
Cette attaque pourrait avoir des répercussions significatives sur les efforts diplomatiques en cours.
Perspectives de résolution du conflit
- Difficultés accrues pour les négociations de paix
- Nécessité d'une pression internationale accrue pour mettre fin aux hostilités
Conclusion : Cette frappe meurtrière à Zaporijjia rappelle l'urgence de trouver une solution diplomatique au conflit ukrainien, tout en soulignant les défis persistants pour protéger les populations civiles dans les zones de guerre
L'Ukraine a appelé ce mercredi 31 août, la Russie à arrêter de bombarder la route vers sa gigantesque centrale de Zaporijjia, occupée par les forces de Moscou et où une inspection de l'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) est attendue. "Les troupes d'occupation russes doivent arrêter de tirer sur les couloirs empruntés par la délégation de l'AIEA et ne pas entraver ses activités à la centrale", a écrit sur Facebook le porte-parole de la diplomatie ukrainienne, Oleg Nikolenko.
L'incertitude d'une catastrophe nucléaire plane toujours au Sud de l'Ukraine. Des tirs de missiles étaient tombés à quelques pas des réacteurs, en fin de semaine. Cependant, la cause de ces frappes n'a pas toujours pu être déterminé. L'agence du nucléaire ukrainien s'inquiète d'un potentiel raccordement de la centrale à la Crimée, région annexée par la Russie en 2014. Le procédé de raccordement pourrait être risqué et les autorités du nucléaire ukrainien lancent un cri d'alerte. La situation pourrait devenir très incertaine, d'après l'agence Ukraine parce que les Russes seraient temporairement obligés de brancher la centrale nucléaire à des générateurs alimentés par du diesel avant de pouvoir la raccorder. L'agence internationale a tout de même rassuré qu'il n'y avait pas de menace immédiate pour la sûreté nucléaire, mais a retiré sa profonde inquiétude concernant la situation de la centrale.
Au moins dix-sept personnes ont été tuées ce dimanche 9 octobre dans des bombardements sur la ville de Zaporijjia (sud de l'Ukraine), trois jours après de précédentes frappes qui avaient fait 17 morts, a t-on appris de source officielle. "Après une attaque nocturne de missiles sur Zaporijjia, 17 personnes sont mortes", selon un premier bilan a déclaré Anatoliy Kourtev, secrétaire du conseil municipal de la ville, sur son compte Telegram.
Dans un rapport publié ce 6 septembre, l'AIEA, l'Agence internationale de l'énergie atomique, a revendiqué la mise en place d'une "zone de sécurité", pour prévenir un accident nucléaire à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes. L'agence souligne également "les conditions excessivement stressantes" dans lesquelles le personnel ukrainien travaille, sous la surveillance des troupes russes.
Ce 3 septembre, la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par l'armée russe, a "une nouvelle fois perdu la connexion" au réseau électrique, a indiqué l'Agence internationale de l'énergie atomique(AIEA), dans un communiqué, dont les experts se trouvent sur place. L'incident qui s'était produit le 25 août dernier, est encore survenu "après de nouvelles frappes dans la zone", selon les informations données par les autorités de la centrale.
Ce dimanche 11 septembre, l'Ukraine a affirmé la mise à l'arrêt du 6e et dernier réacteur en fonctionnement de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le Sud de Kiev, la plus puissante d'Europe, présentement occupée par les forces russes. Il est question de redoubler les dispositions de sécurité.
Ce mardi 16 août, le président de la République Française, Emmanuel Macron a appelé au retrait des forces russes de la centrale nucléaire de zaporijjia, dans le Sud de l'Ukraine. Dans un échange téléphonique avec son homologue Ukrainien, Volodymyr Zelensky, il a noté "sa préoccupation quant à la menace que font peser la présence, les actions de forces armées russes et le contexte de guerre avec les conflits en cours sur la sûreté et la sécurité des installations nucléaires ukrainiennes. Et il a invité au retrait de ces forces", a annoncé l'Elysée.
Ce lundi 15 août, Sergueï Choïgou, le ministre de la Défense russe et Antonio Guterres, le patron de l'ONU ont échangé par téléphone. Au centre de cet entretien, la sécurité de la centrale nucléaire de zaporijjia, sous le contrôle de l'année russe dans le Sud de l'Ukraine, où elle est ciblée par des frappes. L'information a été indiquée par le ministère russe de la Défense dans un communiqué.