D'après un bilan publié ce dimanche 28 août par l'autorité nationale de gestion des catastrophes (NDMA), au Pakistan, les inondations provoquées par les pluies de mousson débutées en juin 2022 ont provoqué la mort de 1033 personnes.
Dans la partie sud du Pakistan, la province de Sind, est l'une des plus touchées par les inondations qui affectent le pays depuis mi-juin. Un état des lieux, causé par les pluies de mousson dévastatrices et des cours d'eau en crue après la fonte accélérée des glaciers dans le Nord du Pakistan. Un citoyen sur sept est affecté et 6,4 millions d'individus ont un désir urgent d'aide humanitaire. Plus de 1300 habitants sont morts, d'après le dernier bilan officiel qui pourrait s'alourdir suivant les opérations de secourisme se mènent dans les localités sinistrées. Un accident climatique dont les effets sont davantage à craindre, parce que beaucoup de zones sont toujours en proie aux inondations pendantes, comme c'est le cas au Sud de Sind.
Trente-trois millions de pakistanais sont touchés par les inondations qui ravagent le pays, soit un habitant sur sept. On compte au moins 1 335 personnes tuées et 12 722 blessées. Les destructions sont considérables. Plus de 3 451 km de routes, 162 ponts, 170 commerces et 949 858 habitations ont été endommagés ou démunis à travers le Pakistan. Le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres a entamé ce vendredi 9 septembre, une visite de deux jours au Pakistan en signe de solidarité avec les victimes des inondations.
L’assemblée de la province du Khyber Pakhtunkhwa a été dissoute hier par le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI). Objectif de l’ex-Premier ministre : forccer: la tenue d’élections anticipées
Les Partisans du Mouvement du Pakistan pour la justice (PTI) se sont rassemblés ce samedi 26 novembre pour soutenir Imran Khan, l'ex-Premier ministre pakistanais renversé en avril par une motion de censure. Depuis le début du mois, l'ancien dirigeant défile à la tête d'une longue marche pour obtenir la tenue d'élections anticipées. Imran Khan et son parti n’ont toujours pas fait savoir s’ils entreraient dans la capitale, cependant à l’entrée d’Islamabad, la police se tient prête. Des centaines de policiers anti-émeutes sont prêts depuis plusieurs jours. Ils sont postés à Faisabad, un carrefour stratégique à l’entrée de la capitale du Pakistan. L'inspecteur général adjoint de la police Sohail Zafar Chatta a vérifié le moral de ses éléments.
1136 morts au total, c'est le dernier bilan des inondations au Pakistan. Depuis mi-juin, le pays est confronté à des pluies de mousson dévastatrices et quelques hôpitaux ont vu le chiffre de leurs patients hausser de 70% ces derniers jours.